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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 18:18
 Hey les petit lou !

Comme promis, une maj ce mercredi ^^ pour la semaine prochaine je prevois un OS "Je me souviens". Par contre, les suites risquent de devenir plus irrégulière, les révions tombent ^^. J'espere que cette suite vous plaira ! à la semaine prochaine mes p'tit lous !



« Je me souviens de ce jour, où je devais partir, et t'oublier. Ce jour où je t'avais dit adieu, souhaitant par dessus tout ne plus jamais te revoir. J'étais dur, mais tu étais beaucoup trop dangereux. Je me souviens de ce sentiment bizarre d'abandon que j'avais ressenti alors que je sortais du bulding de mon père. De ce sentiment de tristesse qui m'avait envahi alors que je rentrais chez moi. Seul. Je tombais peu à peu amoureux de toi, tout en refusant de l'admettre. D'une part, je ne souhaitais pas aimer quelqu'un, pas maintenant, et d'autre part, il y avait Mathis, que je ne voulais pas voir détruit une seconde fois.


J'enlevai alors ma veste, laissant mon appartement plongé dans le noir. Je n'avais qu'une envie, celle d'aller me coucher, mais alors que je marchais en direction de ma chambre, j'entendis quelques coups discrets frappés à ma porte. Soupirant, je me retournai, espérant que ce n'était pas toi. Mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris le jeune homme de ce matin, un oeil au beurre noir.


– Hey ! Qu'est-ce qui s'est passé ! M'exclamai-je en le laissant entrer.

– Tu ne m'as pas rappelé, alors je suis allé voir au Gab's et ça a mal fini...Souffla-t-il, tristement.


Je le regardai marcher avec un pincement au coeur, me rappelant la première fois où je m'étais entiché d'un homme. J'avais le même âge que lui, et il était beaucoup plus vieux que moi. Il s'était servi de moi, avant de me briser le coeur. J'allais faire exactement la même chose.


– Je suis sûr que tu ne te souviens même pas de mon prénom...Dit-il, en s'asseyant sur le canapé.

– Désolé...Fis-je, passant ma main sur mon visage.

– Pourquoi tu ne m'as pas dit que tu avais quelqu'un ? Tu m'as laissé espérer, alors qu'il ne se passerait jamais rien !


Mes sourcils se haussèrent alors que je l'écoutais. Avec quelqu'un ? Une rage immense s'installa en moi alors que je compris que tu venais encore de te mêler de ma vie Noah.


– D’une, je ne t'ai rien promis, m'exclamai-je sérieux, de deux je ne suis avec personne !

– Arrête de mentir, un coup de poing m'a suffi, tu n'avais qu'à me le dire, je ne suis plus un gamin !


Je soupirai alors, j'étais las, et tu ne rendais pas les choses faciles.


– Qui t'a donné ce coup de poing? Tentai-je, calmement.

– Un gars, il a la peau mâte, les cheveux mi longs et châtains.


Je me crispais alors, me rendant compte que j'avais tout faux. Mathis. Rapidement je me relevai, mettant ma veste. Mon regard se posait sur ma montre. Il devait sûrement être rentré.


– Tu peux rester là, j'en ai pas pour longtemps, dis-je, m'avançant vers la porte.

– Tu vas où ? Demanda-t-il en se levant.

– Régler des comptes avec celui qui t'a fait ça.


Je le vis alors sourire, un petit sourire en coin qui m'attendrit.


– Tu t'appelles Joackim. Tu vois je m'en rappelle, fis-je dans un soupir.


Je ne regardai pas son sourire illuminer son visage, fermant la porte à sa joie. Le plus vite possible, j'entrai dans ma voiture. Il ne me fallut que dix minutes avant de me trouver devant la porte de l'appartement de Mathis. Enervé, je frappai. Il mit du temps à ouvrir, mais arriva, torse nu, l'air furieux. Mais il se calma bien vite lorsqu'il me vit. Mon regard se posa sur l'homme nu sur son sofa. Un large sourire ironique étira mes lèvres.


– Pour quelqu'un qui dit vouloir être avec moi, je trouve que tu ne m'attends pas vraiment ! Lançai-je, moqueur.

– Attends c'est pas ce que tu crois...Dit-il gêné.

– Non, bien sûr, il s'est déshabillé parce qu'il avait chaud !

– Je...

– J'en ai rien à foutre ! On n'est plus ensemble, et tu n'as plus de comptes à me rendre. JE n'ai plus de comptes à te rendre tu m'entends !


Son regard se fit fuyant. Il avait beau être beaucoup plus vieux que moi, j'avais un caractère plus fort que le sien.


– Si jamais tu retouches à quelqu'un avec qui j'ai couché, n'espère même plus rester mon ami, m'exclamai-je le regard noir.

– Il est trop jeune pour toi ! Tu as vu son âge...Tu te fais des gamins ! Râla-t-il,sur le même ton.

– Et toi tu frappes des gamins, tu te crois mieux ? Et puis je te signale que la première fois qu'on a couché ensemble j'avais à peine 18 ans et tu en avais 6 de plus.


Je me retournai alors, les poings serrés. Je l'avais blessé, mais je ne savais plus quoi lui dire. Le fait qu'il frappe un ado pour moi m'énervait au plus au point. Pourquoi ne me détestait-il pas ? Je sortis de son immeuble voulant rentrer au plus vite, mais alors que je passais la porte, je pris une personne de plein fouet, ce qui me fit tomber. Un juron passa le barrage de mes lèvre et rageusement je levai la tête croisant ton regard océan.


– Fais chier ! Vous êtes decidés à tous me pourir la soirée ! M'exclamai-je, me remettant debout.


Un large sourire se dessina sur tes lèvres. Noah, pourquoi étais-tu comme ça ? Sans un mot, je repris ma marche, ne voulant pas te parler, mais ta main sur mon bras me retint.


– On se recroise alors que tu m'as dit adieu...ça doit être le destin...Dis-tu, dans un souffle.

– Il n'y a pas de destin là dedans ! Je suis juste venu voir ton meilleur ami !

– Il y a un problème ?

– Non ! M'écriai-je, les poings serrés.

– Pourquoi tu es énervé ? Demandas-tu, le regard sérieux.

– Mêle toi de ce qui te regarde ! On n'est plus censé se voir ! J'en ai marre de t...


Je n'eus pas le temps de finir ma phrase que tu me plaquas contre le mur de l'immeuble posant tes lèvres contre les miennes. Les yeux grands ouverts, je ne participai pas au baiser, trop choqué par ce qui se produisait. Tu mordais mes lèvres, jouais avec, passais ta langue dessus de manière sensuelle. Même si je te détestais, ce que tu me faisais m'excitait malgré moi. Doucement, tu t'éloignas de moi, ancrant ton regard si déstabilisant dans le mien.


– Moi aussi je suis énervé...J'ai perdu quelque chose...Susurras-tu contre mon oreille.

– Ce n'est pas pour ça que je suis énervé, répondis-je, troublé.

– Alors pourquoi ?


Je ne sus que répondre. Tu le savais n'est-ce pas ? J'étais énervé parce qu'on ne devait plus se revoir. C'était moi qui avais mis les closes de ce contrat et je voulais m'y tenir. Mais je n'y arrivais pas.


– Je ressens exactement la même chose...Murmuras-tu, posant ta main sur ma joue.


Ce fut de trop, et d'un bond, je dégageai ta main, accrochant mes bras à ton cou et posant mes lèvres sur les tiennes. Je disais adieu à toutes mes bonnes résolutions. Là, maintenant, à cet instant précis, j'avais envie de toi. Ravi, tu passas tes mains sur mes hanches et d'une manière brusque tu m'amenas jusqu'à ta voiture. C'était totalement irraisonné mais je n'en avais que faire. Tu ouvris les portes arrières, et sans un mot, j'entrai dedans, rejoignant tes lèvres presque immédiatement. Lorsque tu fus assis, je m'assis sur tes genoux, posant un genou de chaque côté de tes hanches. Mes bras accrochés à ton cou ne se défaisaient que pour libérer mes mains qui agressaient tes cheveux. Je caressai ton intimité avec la mienne en faisant de lents mouvements qui t'excitaient. Tout était sauvage, bestial, et c'est ce que je recherchais.


Ta main déboutonna mon jean rapidement, l'enlevant par la suite. Violemment, tu m'allongeas sur la banquette arrière, envoyant valser mon boxer plus loin. Déjà, je sentais la transpiration venir sur ma peau, et j'enlevai mon tee-shirt, m'exhibant complètement devant toi. Un regard de braise, et tu te jettas sur moi, m'embrassant goulûment. Tes mains vinrent caresser avec brutalité mon intimité, faisant sortir de ma gorge des petits cris qui t'excitaient. Tu ne continuas pas bien longtemps ce manège. Rapidement, tes lèvres vinrent se poser dans mon cou, puis sur ma pomme d'adam, sur mon torse, pour finir sur mon intimité complètement dressée. Ta langue la caressa, m'arrachant un cri de plaisir. Enivré, tu la pris en bouche, et mes mains se posèrent sur ton cuir chevelu. Nous n'étions plus maitres de nous mêmes. Tes succions étaient rapides, et incroyablement divines. Mon corps luisant s'arquant à chaque mouvement de langues, déversant des gémissements et des cris non loin d'être étouffés. Mon bras sur mes yeux, ma main sur ta tête, je savourais le premier orgasme que tu m'apportais. Un orgasme dévastateur et tellement pur. Je ne saurais décrire la sensation qui vrillait au fond de mon coeur lorsque tu avalas ma semence et que tu te rallongeas sur moi, embrassant mon cou. Tout était différent avec toi. Je ne ressentais pas la même chose avec les autres. Ça m'énervait, et m'électrisait en même temps.


La respiration saccadée, je me crispai alors que je sentais un doigt me pénétrer. Même si j'étais habitué, cela me faisait toujours aussi mal au début. Mais contre toute attente, alors que notre « étreinte » devait être tout sauf tendre, tes lèvres se posèrent sur les miennes dans un baiser langoureux et presque amoureux. Je me détendis immédiatement, me perdant une fois de plus dans le bien que tu me prodigais. Tu mis un temps fou avant de retirer tes doigs, puis, après un dernier baiser des plus déroutants, tu écartas mes cuisses et me pénétras, avec une telle douceur que cela me fit chavirer. Mon coeur battait à tout rompre, et je craignais que tu ne l'entendes. Ça ne devait rester que du sexe entre nous, je le savais.


Tes coups de reins se firent doux, comme si tu voulais profiter au maximum de cet instant. Comme si tu te doutais qu'il n'y aurait aucune prochaine fois. J'aurais aimé que ça soit le cas. Qu'on tienne tous les deux notre contrat, et qu'après cette nuit, nous redevenions des inconnus l'un pour l'autre, mais il a fallu que nos coeurs et nos sentiments viennent tout gâcher...


Eclairés par la lumière des réverbères, nos corps s'entrelaçaient passionément, faisant bouger la voiture. Tout le monde aurait pû nous voir. Tout le monde, et l'homme que j'essayais de protéger, que je refusais de détruire une fois de plus. Mais ce soir là, j'avais décidé de ne plus réfléchir. Dans un ultime déhanché, tu t'es libéré en moi pour la première fois. Je t'ai suivi immédiatement, n'en pouvant plus de cette chaleur qui embrasait mon bas-ventre. Mon corps tout entier avait baissé les bras, donnant l'accès à une foule de sentiments. Sentiments qui n'auraient jamais dû avoir leur place dans cette histoire.


Le souffle coupé, tu t'es allongé près de moi, m'enlaçant avec ton bras. Je me souviens que tu t'endormis à la seconde. J'étais surpris car tout avait été doucement. Mon regard s’est posé sur ton visage endormi, à demi éclairé. Tu semblais calme et serein. Beau comme un dieu, je sentais mon coeur continuer à battre dans un rythme insoutenable. Il fallait que je sorte de cette voiture. J'étais déjà allé beaucoup trop loin avec toi.


Sans un bruit, je repris mes affaires et sortis, m'habillant dans la rue rapidement. Tout en refermant la porte, je te regardai là, entièrement nu. Je revenais peu à peu dans la réalité, me rendant compte qu'il m'avait fallu deux secondes pour te céder et plus d'un mois pour te repousser. C'était de ma faute, j'aurais pu encore une fois te repousser...Je ne me comprenais plus.


Un soupir passa le barrage de mes lèvres et je regardai vers l'appartement de Mathis. J'espérais qu'il n'était pas descendu pour sortir les poubelles ou autre. Mais de toute façon, au vu de l'homme nu sur le canapé, je doute qu'il avait eu cette envie.


Rapidement, je marchai jusqu'à ma voiture, et repartis en route vers mon appartement. Dix minutes plus tard, j'entrai dans ma chambre, trouvant Joackim dans mon lit. Surpris, mes lèvres se tordirent dans une grimaçe. Il était hors de question que je redorme avec lui. Voir son tatouage m'hypnotisait, j'étais certain qu'il avait fait exprès de dormir torse nu. Sans un bruit, j'attrapai un coussin et allai m'allonger sur le canapé. Il me fallut peu de temps avant de sombrer dans un someil sans rêve.


Je me réveillai le lendemain matin, une odeur de café dans les narines. Le soleil, déjà haut dans le ciel, m'avertit que la journée était déjà bien entamée. J'avais mal dormi sur mon canapé,et immédiatement ma mauvaise humeur quotidienne revint au galop. Je me levai, regardant autour de moi. Mon regard se posa sur le jeune blond qui se trouvait dans ma cuisine et qui faisait cuire du pain perdu. Pourquoi n' était-il pas encore parti ?


– T'as pas une mère qui s'inquiète de ne pas te voir rentrer le soir ? Dis-je, passant ma main sur mon visage.

– Elle est en voyage de noces avec son nouveau mari, répondit-il, fuyant mon regard.

– Et elle laisse son fils de 16 ans seul ?

– Non, mon grand frère doit me surveiller.


Immédiatement, je croisai son regard, et lui fis un clin d'oeil.


– Un grand frère...Murmurai-je, un sourire au coin de mes lèvres

– Il est hétéro !! S'exclama vivement Joackim


Je ne pus m'empêcher de rigoler et attrapai un morceau de pain perdu. Nous déjeunâmes en silence, puis, une fois fini, j'allais prendre ma douche, lui intimant de partir. Mais comme je l'avais prédit, le jeune homme se retrouvait assis sur mon sofa, regardant la télévision.


– C'est pas vrai ! Je t'avais dit de partir ! M'exclamai-je énervé.

– On peut faire quelque chose tous les deux ! Dit-il se mettant à genoux sur le canapé.

– Non, j'ai une vie moi ! Allez va t'en !


Un soupir passa ses lèvres, et rageusement il se leva, reprenant sa veste. J'eus soudain l'envie de le taquiner un peu, voyant qu'il ne fallait pas trop le chercher.


– Tu peux rester...Dis-je d'un ton faussement las.

– C'est vrai ?!? S'exclama-t-il, surpris

– A une condition...Soufflai-je le regard désireux.


Il lâcha son sac, et s'approcha de moi, posant ses lèvres dans mon cou. Immédiatement je le repoussai, le regard amusé.

– Tu appelles ton frère...Dis-je, dans un grand sourire.


Un « connard » sortit alors de sa bouche et il se retourna, le regard noir. Il prit son sac, et sortit en claquant la porte. J'éclatai alors de rire, m'assis à mon sofa, et regardai un peu la télé.


En début d'après midi, j'allai à la société de mon père car il me l'avait demandé. Il pleuvait des cordes dans la capitale, si bien que je me présentai complètement trempé devant sa secrétaire. Celle-ci m'avertit qu'il avait un rendez-vous et patiemment, j'attendis. Dix minutes plus tard, j'eus la mauvaise surprise de te voir sortir de ton bureau, quelques dossiers dans une main, et le contrat que je t'avais remis dans l'autre. Mes sourcils se froncèrent, mais lorsque j'entendis mon père parler, mon coeur loupa un batement.


– C'est le restaurant d'Henri, son meilleur ami, il se trouve près de la Tour Eiffel, si vous y allez, Henri vous fera sûrement un prix.


Au vu de tes yeux noirs, je compris que tu avais tout deviné...


– Puis-je parler à votre fils quelques minutes ? Demandas-tu la voix dure.


Mon père acquiesça avant de me faire un sourire et de rentrer dans son bureau...S'il savait dans quel « merdier » il venait de me mettre. Soupirant je me levai et te suivis à une certaine distance. Tu entras dans ton bureau, et je fis de même, me retrouvant immédiatement collé contre la porte, tes deux bras de chaques côté de mon visage.


– Tu as menti ! Dis-tu, un sourire sadique au bord des lèvres.

– Et alors, tu l'as déjà eu ta nuit ! Rétorquai-je aggresivement.

– C'était avant que je sache que j'avais gagné...Tu m'en dois une autre.


Un énorme sourire vint prendre mes lèvres, et d'une façon sinique je ripostai.


– Désolé, je ne couche qu'une seule fois avec les mauvais coups !

– Arrête, tu as crié à m'en percer les tympans, et ce n'était sûrement pas parce que tu avais mal.


Je ne sus quoi dire. tu avais raison, mais je refusais de t'offrir une seconde nuit. Peut-être parce que la première m'avait tellement troublé que je n'arrêtais pas d'y repenser...Ou peut-être parce qu'à cet instant précis, une chose m'obsédait : tes lèvres...


– On recommençe le pari, dis-tu, te remettant droit.

– Non, tout est fini Noah ! Articulai-je péniblement.

– Aurais-tu peur de perdre ? Tu es incapable de te débrouiller seul alors...

– Tu m'énerves ! Ok, on le recommence, c'est quoi la mise ?


Tu t'assis alors sur ton bureau et plantas tes yeux de glace bien au fond des miens...


– J'ai un ami qui recherche un serveur. Tu travailles là bas pendant deux mois et tu gagnes, je disparais. Tu lâches l'affaire, je gagne, mais tu connaitras ta punition à la fin du pari.

– Ok, j'en suis capable, dis-je, en levant ma main.

– Attends ! Je veux que ton père te coupe les vivres.


Ce que tu me demandais, c'était de devenir vraiment indépendant. Ëtre ce que je voulais vraiment devenir sans en avoir vraiment le courage. J'ai accepté de perdre mon confort. J'avais peur de ne pas s'avoir m'y prendre avec toutes ces responsabilités. Si j'avais su que tout serait aussi merveilleux, j'aurais pris mon indépendance depuis bien plus longtemps...Mais je ne t'aurais peut-être pas connu. Je t'aime et je te hais. Je t'en veux et tu me manques. Même indépendant aujourd'hui, je suis encore perdu. Avec toi tout était facile. Maintenant tout est bien trop dur...Tellement dur que je me demande si je ne devrais pas te chercher, t'arracher à l'endroit pour lequel tu m'as quitté. Finalement, me pousser à couper les vivres de mes parents a été une bonne chose...Mais je ne suis pas sûr du reste..."


Par mai-lynn - Publié dans : Beauté Inaccessible
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