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Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 22:29

 

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Nous sommes à paris, pendant le mois de décembre, les décorations illuminent les arbres qui ont perdus leurs couvertures. ça fait deux jours qu'il pleut abondement, et on dit souvent que la pluie est annonciatrice de mauvaises nouvelles...Les rues sont bondés de gens en parapluies, se protegant comme ils peuvent du torrent qui s'abbat sur eux. 

Mais un intrus vint se glisser dans ce paysage. Il cours, percutant les passants. Les larmes coulent sur ses joues abondement. Il est grand et blond, il a les yeux verts. Il est très beau, mais son visage est à présent transformé par la douleur, la tristesse et la colère...

Il cours sans jamais se retourner, manquant de se faire percuter par des dizaines de voitures. Il n'entends pas les appels de son ami, qui cours à sa suite. Lui a les cheveux chatains et les yeux marrons, il porte une blouse blanche...Peut-être est-il medecin.

Leur course effrainé se poursuit, l'un voulant échapper à l'autre, l'autre voulant le ratrapper. Mais soudain le jeune homme blond s'arrête davant une petite maison. Les marches du perron laissent ruisselés l'eau, les rendant glissantes. Le jeune homme la regarde avec une infime tristesse, il s'apprete à y monter, mais il est retenu par le jeune homme chatain, qui le tient fermement par le bras.

- Owen, arrêtes, tu te fais du mal !

La haine dévaste ses beaux yeux verts, d'un mouvement brusque, il se dégage de la prise de l'autre homme, qui surpris tombe par terre.

- Ne me touches pas ! ne pose plus jamais tes mains sur moi ! réplique le dénomé Owen, le regard asassin.

D'un pas rapide, il monte quatre à quatre les marches du perron et entre dans cette maison qu'il n'aura peut-être plus jamais l'occasion de voir. Il longe le hall, se rapellant de chaque discussions, et arrive dans le salon. Ce salon qu'il aime tant, si calme et serain. Ce canapé blanc où il s'est si souvent assis, pour regarder la télé ou lire un livre de sa bibliothèque...

La rage, ce sentiment nait en lui, et lui prend avidement les tripes. La colère monte de plus en plus, si bien qu'il arrive devant cette bibliothèque, devant sa bibliothèque. Il prend un livre et caresse la couverture. Ses larmes coulent...Pourquoi ? De rage il jette ce bouquin à l'autre bout de la pièce, puis recommence ce même geste encore et encore. Il veut évacuer cette tristesse, cette colère.  Sa fureur est telle qu'il détruit peu à peu le salon, sous le regard triste du jeune homme chatain, qui est lui aussi entré. Il déchire les coussins, fait tombé la vielle horloge, casse la stéreo, tout est bon pour essayer de calmer sa douleur. il commence à jetter les cadres qui se trouvaient sur la cheminée, mais s'arrête en plein élan. D'un geste fébrile, il attrape un cadre où une photo y est encadré. Ce jeune homme blond pose sur la photo en compagnie d'un homme brun, les cheveux mis-courts, aux yeux bleus gris. Tenant ce cadre contre son coeur, il s'appuie contre le mur, se laissant glisser au sol, le regard vide, mes les larmes coulent encore et encore.

Le jeune homme brun en profite pour l'approcher, et le regarde. Lui aussi pleure. D'une voix pleine de tristesse, il lui dit :
- Owen...
- Pourquoi Mathis ? Pourquoi il a fallu qu'il s'en aille ? demanda le jeune Owen, sans regarder le dénomé Mathis
- Il t'avais prévenu...
- Il n'avait pas le droit ! de rage, il balança le cadre a fond de la pièce, et pris sa tête entre ses mains.
- Comment je vais faire sans lui ? demanda-t'il cachant son visage

- Comment je peux vivre sans lui ? comment je peux l'oublier ? aide moi Mathis ? implora le jeune Owen
- Tu ne pourras jamais l'oublier, tu peux juste commencer à te séparer de lui, de ce manque qu'il te procure...lui répondit Mathis, le prenant dans ses bras.
- Comment...Murmura Owen plus désemparé que jamais
- ...écris...écris ton histoire, votre histoire, et quand tu te sentiras capable de faire le deuil de cette relation...Brûle ces pages Owen

Les heures défilent devant se yeux sans vraiment qu'il ne s'en rendent compte. Il déteste cet homme qui l'a quitté. Ses mains tremble, sa peine est immense. D'un geste fébrile il attrappe son bloc note et son crayon, et commence à écrire :

" Je n'étais rien, tu étais tout. Tu ne voulais pas m'aimer, pour ne pas souffrir lorsque tu partirais. Tu n'étais qu'un égoïste, une personne froide, une beauté innaccessible. Pourtant je t'ais obligé à changer...Peut-être n'aurais-je pas du...Peut-être avait tu raison...Et si Mathis à raison, en écrivant notre histoire, je t'oublierais peut-être définitivement..."

°0° Alors cette prologue ? ça vous dit de lire cette fic ? j'attends vos impressions !!! °0°

Par mai-lynn - Publié dans : Beauté Inaccessible - Communauté : Les Archanges de Sade
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