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♥ Mai-Lynn ♥

 

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  Love, Sex, and Boys : Arrêt du blog, mais l'histoire continue sur mon blog !

 

Chapitre 10 de One More Night



OS : Je me souviens

Prochaine maj : Chapitre 8 de Peur de toi

 



Je vous souhaite à tous et à toutes une bonne lecture !

Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 22:16


Chapitre 1 : Mise En Place

°0° Un grand merci à Mahea pour ce splendide chapitre, elle place la barre assez haut ^^ espérons que j'y arrive avec le chapitre deux qui devrait pas tarder ^^. Bisous ALL °0°

Par mai-lynn - Publié dans : A Beautiful Lie - Communauté : Les Archanges de Sade
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Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 11:01

" Il m'avais ensorcellé. Il avait pris mon âme et jouait avec, la balançant de mains en mains. Je n'ai pas honte de dire que j'ai tout simplement flaché sur lui. Mais je savais que ce n'était pas ce sentiment qu'on appelle amour qui brulait peu à peu au fond de mon estomac. Non, ce sentiment, c'est toi qui me l'as apporté. Finalement Mathis a été le facteur de notre rencontre, et d'une certaine façon, j'ai honte, car je me suis servit de lui, ne tenant pas compte de ses sentiments.

Henri me regardait toujours avec ce sourir taquin. Puis, d'un geste rapide il m'amena vers Mathis. Mes yeux ne pouvait se détacher de son doux visage. Lui aussi me regardait.
- Mathis, je te présente Owen, mon meilleur ami. dit Henri, prenant dans ses bras Sarah.

Il me scruta un instant, me jaugant d'un simple regard. Puis un sourire élargit sa bouche, et il me tendit la main, que je m'empressais de serrer. Ce contact me fit tourner la tête et je su que je finirais ma soirée avec lui, me délectant de sa peau hallé.
- Enchanté...Et bon anniversaire...dit'il, la voix sensuelle

Même se voix me donnait des frissons. Dans un élan de provocation, je lacha sa main, voulant me montrer indifferent à son charme fou. Je voulais que ce soit lui qui vienne me chercher, lui qui veuille me recevoir en lui. Henri prit alors la parole, me surprenant par son désir d'entremetteur.
- Et si vous alliez prendre un verre au bar, histoire de faire plus ample connaissance ?
Je le regardais avec un sourire hypocrite...Pourquoi se connaitre si on allait finir par se jetter l'un sur l'autre ? Mais Henri semblait y tenir alors j'enmena Mathis au bar. Je commanda mon habituel wisky coca, ce soir j'avais 19 ans, je voulais ne plus savoir qui j'étais. Lui comanda une vodka pur, visiblement il se sentait d'attaque à la fête lui aussi. 

Cela faisait dix minutes qu'on tenait nos verres, regardant les diverses personnes qui se trouvaient dans la salle. Dix minutes qu'un silence entre nous s'était installé, se souriant mutuellement lorsque nos regards se croisaient. Puis d'un naturel déconcertant, il commença le dialogue, par une question qui me fit rire interieurement.
- Tu fais quoi dans la vie ?
Je le regardais alors dans les yeux, mais je détourna vite mon regard, me sentant encore analyser par ses yeux. Mais je pouvais y lire une certaine appréciation, signe que je lui plaisait, ce qui commençait bien.
- On vas dire que je suis chargé de dépenser l'argent que mon père gagne...
Il sourit, ma réponse l'avait satisfait.
- Et toi ? demandais-je, le regardant cette fois, tenant son regard dans le mien.
- Moi je suis medecin.
Je fus étonné. Comment pouvait-il être medecin, il paraissait si jeune. La question qui me brulait tant la bouche sortit, sans que je me rende compte de l'indiscression qu'elle pouvait succiter.
- T'as quel âge ?
Il me refis son sourire en coin.
- 26 ans et toi tu en as 19.
- Mais t'es super jeune pour être medecin ! répliquais-je déconcerté.
- Disons que j'ai dépenser l'argent de mon père...me répondit-il l'air évasif.
- A d'accord, je vois, tu t'es fait pistonner...
- Pas vraiment, mon savoir sur la medecine était bien au dessus que celui des autres, j'ai donc agit pour moi.
Sa réponse me fit rire, il était donc aussi imbu de lui-même que moi je ne l'étais de moi-même. Coupant court à mes réflexions sur sa personnalitée, il me posa une question qui me surpris au plus au point.
- T'es gay ?
Je tourna alors la tête vers lui, des rougeurs apparaissaient sur mes joues. Mais son regard envieux m'hypnotisa.
- Oui...Répondis-je dans un souffle.
Un sourire appréciateur fis son apparition, et il me prit la main, m'enmenant sur la piste de danse. C'était une chanson à la mode, où il fallait être bien serrer pour suivre le rytme langoureux.. Il me plaqua contre lui sans que je m'y attende, m'arrachant un hoquet de surpise. Je sentais son soufle dans mon cou, pendant qu'il passait sa jambe entre les miennes, frottant volontairement son intimité à la mienne au rytme de la musique. Je perdis instantanement le controle de moi-même n'étant plus celui qui dirigea la danse. Il passa ses mains sous mon tee-shirt, carresant du bout des doigts mon dos. Je fermais les yeux, me laissant divaguer par ces caresses de plus en plus osés. Elles descendaient de plus en plus bas, rentrant peu à peu dans mon jean, puis dans mon boxer. Le contact de des mains sur mes fesses, me fit me raidir, tant le plaisir que je ressentais m'éhardissait. Mes yeux croisa les siens, et, enivré par le désir, je lui pris avidement sa bouche, caresant violement sa langue. 

Ce baiser ne ressemblait en rien à notre premier baiser, le tien me rendait incertain sur la suite des évenements, alors qu'avec le sien, je savais tres bien où l'on finiraient.

Lachant ma bouche, et scrutant mon regard, avec son même sourire appréciateur, il me dit une phrase qui m'envoya directement au sumun de la fierté, ayant trouvé rapidement celui qui me procurerait du plaisir jusqu'au petit matin.
- ça tombe bien, Je le suis aussi..."

°0° Voila voila, petit chapitre que je devais vous faire hier, désolé, mais a la place vous avez la prologue de moi et Mahea ! Gros bisous ! et encore une fois, j'espere que ça vous a plus ^^ °0°

Par mai-lynn - Publié dans : Beauté Inaccessible - Communauté : Les Archanges de Sade
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 22:41

 

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°0° Cliquez ici °0°

It's a beautiful lie

C'est un magnifique mensonge

Its a perfect denial

C'est le dénie parfait

Such a beautiful lie to believe in

Un mensonge si magnifique en lequel croire

So beautiful, beautiful it makes me

Si magnifique, magnifique il me consacre

 Au lever du soleil, où le ciel est encore orange, la douce vague de chaleur de l’été indien envahissait peu à peu l’atmosphère, faisant fondre la fine couche de gelée qui parsèmait les arbres si majestueux en cette saison. 

Ceux-ci laissant tomber sur l'herbe fraîche, des feuilles orange, jaunes, rouges et marron.Un homme d’une vingtaine d’années était à genoux devant une tombe, les larmes venaient de sécher sur ses joues rougies. Il paraîssait grand, des cheveux châtains, mi-longs, entourant son doux visage triste. Ses yeux étaient d'un bleu intense, laissant cependant, transparaître une profonde fatigue ainsi qu’une douloureuse peine. Des tâches de rousseur peintes par-ci par-là, lui provoquant un charme fou.

Le jeune homme posa une main sur la pierre tombale, puis se mit debout. Il regarda un instant la gravure puis l’embrassa. Dans un murmure, il prononca ces quelques mots « Je serais le meilleur des pères...Je t’en fais la promesse ». Il se retourna ensuite, quittant cet endroit où la mort règne en maître.

 

« Ci-gît Rose Elisabeth Monroe

20/04/1988-06/11/2007 

L'amour surmontera n'importe quelle barrière »


°0° Voila le prologue de l'histoire de Moi et Mahea ! J'espère qu'il vous as donné l'eau à la bouche, on a bossé toute la soirée sur le plan et tout, donc je vous promets pleins de choses pour cette fics ! A tres bientot pourle premier chapitre de cette nouvelle histoire ! Gros bisous ! °0°

Par mai-lynn - Publié dans : A Beautiful Lie
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 16:15
" Je n'avais jamais pensé être un jour entre deux garçons. Comment en est-on arrivés là ? Je suis désolé, pour tout ce qui s'est passé, mais, tu n'aurais pas dû revenir, tu aurais dû me laisser du temps. Je ne veux pas être ton ami, c'est impossible, je mourrais si j'étais réduit à ce simple statut, je préfère te haïr en silence, car la haine est proche de l'amour, amour que tu refutes..."

Kilian sortit de la voiture, laissant la porte grande ouverte et courant vers la deumeure. Il y rentra, ne lançant aucun regard à Joey. Une fois à l'intérieur il se plaqua contre la porte, ses deux mains positionnées sur son visage, retenant les larmes qui menaçaient à tout moment de tombés. Pourquoi l'avait-il embrassé ? ne pouvait-il pas rester son ami ?

" Je ne ressent rien pour toi ! "

La dernière phrase de Matthiew revint dans sa tête, agravant le cas de son coeur meurtri. Il l'avait oublié avec la présence de Joey pourquoi avait-il tout gaché ?

- Kilian, tu es rentré ?

La voix de Jocia attérie dans le hall. Renvoyant ses pensés négatives, il alla la rejoindre dans la cuisine, mais il fut surpris de voir un énorme gateau troner sur la table de la salle à manger, avec autour les visage raillonant de Jocia et Marc.

- On s'est dis qu'on pourrait fêter ton point gagant ! dit Marc, apportant une coupe de champagne à Kilian.

La soirée se passa agréablement bien, Kilian en oublia Matthiew et Joey, profitant du rapprochement avec ses "Beaux parents". Ce mot, il n'avait jamais réussi à qualifier une famille comme telle, et pourtant, dans celle là, il se sentait vraiment bien.

Il alla se coucher vers 4 heures du matin, complettement soul, ils avaient bu deux bouteilles de champagne et maintenant il avait la tête qui tournait.

Le lendemain il ne se leva qu'a Deux heures de l'après-midi.Surpris de ne pas voir Ewen au pied de son lit, il se rallongea afin de se rendormir quelques minutes. Mais son portable se mit à sonner. Sans regarder le nom de la personne qui téléphonait, il décrocha.

- Allo ? dit-il la voix endormi
- C'est Matthiew. répondit Le concerné, froid

Kilian se leva d'un bond, mais pourquoi ne le laissait-il pas tranquille ?

- Qu'est-ce que tu veux ? demanda-t'il tout aussi froid
- Désolé pour hier...
- Bien Salut ! le coupa Kilian avant de raccroché.

Matthiew lui re téléphona sept fois, mais Kilian ignora, a quoi bon ?

Il se mit a regarder par la fenêtre, le quartier était vraiment paisible. Les enfants jouaient au roller sur la chaussé et les parents s'amusaient à jardiner, rien de plus idyllique et classique. Le soleil libérait le ciel bleu de ses nuages, amenant avec lui un souffle chaud. 

- Je te dérange ?

Kilian se retourna surpris. Samantha se trouvait dans l'embrasure de la porte, les joues rosies. Kilian se demanda pourquoi elle rougissait, et en remarquant qu'il ne portait qu'un bas de pijama, il comprit pourquoi.

- Euh non, entre, je metterais bien un tee-shirt mais Jocia les as tous prits... dit-il géné
- Oui ça c'est elle si tu l'ais a mis une fois ou que tu viens juste de les acheter, ils doivent être lavés. répondit-elle souriante.

Elle prit place sur la chaise de bureau et Kilian s'assit sur son lit.

- je...Voulais te féliciter pour le match, tu m'as vraiment surpris... dit-elle géné.
- Je crois que je me suis surpris moi-même...répondit Kilian, souriant.

Elle allait répliquer quelque chose lorsque la voix de Jocia résonna jusqu' à la chambre.

- Kilian ! Matthiew monte !

Kilian et Samantha eu la même réaction. Ils firent tous les deux de grands yeux, et dans un boucan monumentale ils fermèrent la porte de la chambre de Kilian, s'addossant à celle-ci.

Matthiew frappa à la porte, mais n'entendant pas de réponse, il esseya de l'ouvrir. Dans un soupir de lassitude il dit 

- Kilian...Ouvres moi...

Samantha regarda Kilian qui avait la tête baissé. La voix de Matthiew sembait désespéré, qu'est-qu'il s'était passé ?

- Pourquoi tu ne veux pas le voir ? murmurat-elle
- Je ne sais pas...répondit-il toujours la tête baissé. Et toi ?
- T'as vu comment je suis habillé ?!?

En effet, Samantha portait un pantacourt et un tee-shrt trop grand pour elle, avec dessus " J'aime les Glaces ". Kilian pouffa de rire.

- Je vous entends, je vous signale, Kilian ouvres cette porte, sinon je la défonces ! répliqua Mathiew furieux.

Kilian soupira, et ouvrit la porte, retournant vers la fenêtre pour ne pas le regarder dans les yeux. Matthiew entra et ne remarqua même pas Samantha.

- Euh Kilian, je te laisses...dit-elle, retournant dans sa chambre.

matthiew referma la porte, puis se mit a observer Kilian, adossé à la fenêtre. Il ne portait rien à part ce vulgaire bas de pyjama...Pourquoi était-il la tentation incarné ?

Kilian se retourna alors, n'en pouvant plus de cette atmosphère tendu. Mais lorsqu'il se retourna, il remarqua le regard fuyant de Matthiew et les rougeurs qui apparaissaient sur ses joues. Levant les yeux au ciel, il chercha dans son armoire quelque chose a ce mettre sur le dos. Il trouva un vieux sweat noir.

- Pourquoi tu es là ? demanda-t'il froid.
- Ecoutes...Je voulais m'excuser pour hier...répondit Mathiew, une main sur sa nuque.
- Tu me la déja dis au téléphone, je t'ais dit que c'était bon !
- Non, tu m'en veux...
- Et alors ? tu ne ressents rien pour moi, je l'ais comprit !
- Kilian, Je...Je veux qu'on soit amis...

Kilian s'assit sur son lit, et regarda par la fenêtre. Amis ? Son coeur se déchirait peu à peu, laissant couler des larmes de sang. Il ne pouvait pas...

- Je suis désolé...Je ne peux pas...

Mathiew le regarda surpris, ne comprenant pas la réaction de Kilian, l'énervement pris ensuite place.

- ALors c'est ça, je refuse de me faire baisé et voila tu ne veux même plus être mon ami ! dit-il, la colère se lisait dans ses yeux.
- C'est pas ça...Je peux pas être que ton ami...répliqua Kilian, insistant sur le "que"
- Mais pourquoi ? demanda Mathiew de plus en plus énervé.

S'en était trop pour Kilian. D'un geste vif il plaqua Mathiew contre la porte, enserrant ses poignets, empechant tout mouvements. Puis il le regarda dans les yeux. La surprise se lisait dans ses yeux.

- Kilian, arrêtes... murmurra Mathiew.

Pour toute réponse, Kilian commença à embrasser Matthiew dans le coup, de petits baisers papillions. Sa peu était si douce, sucré, il aurait tant voulu la gouté un peu plus. Il remonta peu à peu vers le haut de son cou, son odeur...Cette odeur qu'il aimait tant...Il entendit Matthiew lacher un faible gémissement à peine audible. Encouragé, il s'approcha dangeuresement de ces lèvres si tentatrisses, les frolants.

- Tu en as envi, n'est-ce pas ? murmura Kilian, un souffle chaud se déposant sur les lèvres de Kilian

Matthiew ne répondit pas. Kilian glissa sa jambe entre les deux jambes de son " amant ", collant son intimité à celle de Mathiew. Il eu un sourire satisfait lorsqu'il sentit une bosse grossir peu a peu dans le jean de Matthiew.

- Tu vois l'effet que je te fait ? continua Kilian

Il lacha la main droite de Mathiew, pensant qu'il le repousserai, mais il la garda en l'air, près de la prisonnière. Satisfait, il glissa sa main sous le tee-shirt de mathiew, et passa délicatemenet sa main sur sa peu, laissant ses doigts faire les caresses. Il vit Mathiew fermer les yeux, l'envie se lisait dans sur son visage. Kilian se raprocha alors de la bouche de Matthiew mais ne la toucha pas, et dans un murmure il dit.

- Tu as envi de moi... [ il descendit sa main de plus en plus bas ]...J'ai envi de toi...[ Il glissa sa main dans le jean de Mathiew ]...C'est pour ça qu'on ne peut pas n'être que des amis...[ il exerça une pression sur le membre gonflé de Matthiew, qui lacha un gémissement ]

Mathiew ne controlait plus rien, si bien qu'il voulu trangresser la barière invisible de leurs levres, mais Kilian s'éloigna précipitement, retournant vers la fenêtre, regardant le paysage. Et sans le regarder, la voix froide, il dit :

- Maintenant vas-t'en !

Mathiew le regarda, l'incompréhension se lisait dans ses yeux, mais peu à peu, la rage prit place, une rage d'avoir ressenti du plaisir. Enervé il sortit, en claquant violement la porte. Mais il n'avait pas vu la larme couler sur la joue de Kilian, regrettant son geste...


"Je ne veux pas être ton ami, c'est impossible, je mourrais si j'étais réduit à ce simple statut, je préfère te haïr en silence, car la haine est proche de l'amour, amour que tu refutes..."

°0° Non, me tappez pas, me tappez pas !!!! creuse sa tranché...J'vous aimes mes lecteurs ! °0°


Par mai-lynn - Publié dans : Pourquoi c'est si dur ? - Communauté : Les Romances Explosives
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 12:22

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Hey Hey Hey les Gens !

Je vous annonce que bientôt, Mahea et moi-même allons faire ne co-production. Tout avance ^^ on a le plan, les personnages principaux...c'est tout lool, mais en tout cas ça risque d'être apprécié (enfin j'espère ^^)

Pour ceux qui pense que je n'arriverais pas à tout faire ( maj et nouvelle histoire) je vous promets que si, je ferais toujours au moins une suite tous les jours :).

Sur ce je vous fait un gros gros bisous en vous disant qu'aujourd'hui il y aura une suite de Pourquoi c'est si dur et de Beauté Innaccessible.

Merci de me suivre depuis le début !

Par mai-lynn - Publié dans : ?
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Samedi 12 janvier 6 12 /01 /Jan 15:16
Dosan enmenna Hitoshi dans la salle de bain. Il n'y avait qu'une seule manière de lui faire oublier ses questions, et cette manière, il allait lui apporter. Dosan connaissait la relation qu'avait Hitoshi et Akeno, bien que purement sexuelle, ils éprouvaient une profonde amitié l'un envers l'autre, enfin du côté d'Hitoshi, en tout cas.

Arrivés devant la porte close de la salle de bain, Dosan appuya Hitoshi dessus, lisant dans ses yeux son desarroi profond face à la dispute précédente. Délicatement, il posa ses lèvres sur celles d'Hitoshi. Le baiser fut chaste, voulant quelque chose de doux et non de brusque. Dosan se mit à mordiller les lèvres de son amant, qui fermait les yeux. Il posa ses mains sur le cou d'Hitoshi, accentuant ainsi sa prise sur cette bouche si douce. Commençant à s'éxiter, il lécha les lèvres d'Hitoshi, refaisant le contour, mais il ne rentra pas sa langue tout de suite, le faisant désirer. 
Hitoshi ouvrit subitement les yeux, lui aussi devenait subitement éxité, et en voyant le regard taquin de Dosan, il comprit à quel jeu il jouait. D'un geste rapide, il inversa les positions, voulant devenir l'actif. De ses mains expertes, il carressa le torse imberbe de son amant qui se cambra sous l'afflut de sensation qui le traversait. Hitoshi, se mit à mordiller le lobe de l'oreille de Dosan puis redescendit peu à peu vers sa machoire, appliquant de petits baisers humides.
Dosan régit immédiatement, et ce mit à gémir doucement, appréciant ces caresses et ces baisers.
Hitoshi s'éxitait de plus en plus. Il plaça sa jambe entre celles de Dosan, collant son intimité à celle de son amant. Il ne fut pas surpris d'entendre Dosan gémir plus bruyament. 
A ce contact, Dosan ouvra les yeux, laissant apperçevoir le désir qui brulait en lui. A l'aide de ses mains, il prit la tête d'Hitoshi, le ramenant à lui et prit avidement sa bouche. Leurs langues jouaient ensemble, se cherchant pour mieux se trouver, rendant le baiser endiablé. 
Hitoshi descendit sa main délicatement sur le torse de son amant, le caressant à la volé. Arrivant à son bas ventre, il dégraffa un à un les boutons de ce jean. 
Dosan sentait les caresses que lui prodiguait Hitoshi, mais s'étonna de la sensation qu'il y trouvait.  Dans ces carresses, ces baissers, quelque chose d'inconnu tordait son estomac, le rendant de plus en plus anxieu du jour où tout s'arreterait. Il n'avait jamais ressentit ça, tant de plaisir rien qu'avec un homme. 

" Joben et moi étions d'accord, il ne faut pas t'attacher à lui !"

La voix de Nina résonnait dans sa tête, non il ne devait pas s'attacher, il ne devait pas devenir dépendant de lui, tout allait s'arrêter...Dosan était perdu dans ses réflexions, si bien qu'il ne remarqua pas tout de suite le regard étonné d'Hitoshi. Ses yeux noirs si perçants...Son coeur lui disait de s'attacher, de commencer quelque chose, mais sa raison lui disait de ne rien faire, pour lui...Une larme perla  dans le coin de ses yeux, suivit de bien d'autres.

Surpris, Hitoshi se recula, le regardant à la fois étonné et triste. 
Dosan se glissa contre la porte de la salle de bain, se retrouvant assis à terre, le visage pleins de larmes. Il avait l'air si misérable, si triste. Le coeur d'Hitoshi se serra, qu'est-ce qui se passait ? Hitoshi se mit a genoux pres de lui et d'une voix à peine audible, il dit :
- Dosan...Qu'est-ce qui t'arrives ?

La honte...comment en avat -il pu arriver là ? Que ressentait-il pour son "contrat" ? Son coeur lui criait une réponse invraisemblable...De l'amour ? A l'entente de son prénom, Dosan leva ses yeux pleins de larmes et croisa une nouvelle fois le regard si doux de son amant. Dans un élan de peur, il s'agrippa désespérement au cou d'Hitoshi, qui l'acceuilla, d'abord Surpris. Il l'enserra par la suite, carressant ses doux cheveux couleurs de blé. Il sentait les larmes couler le long de son épaule, et son coeur se serra encore plus, mais il se déchira lorsqu'il entendit ces mots :
- Promets moi que quand tu apprendras mon passé, tu ne me laisseras pas...
- Dosan...Souffla Hitoshi, essayant de le regarder dans les yeux, mais Dosan le serrait de plus en plus.
- Promets le moi Hito, promets moi de ne pas me laisser, quoi que je fase... implora Dosan, le corps secoués de sanglots.

Hitoshi hésita un moment. Devait-il faire une promesse qu'il n'était pas sûr de pouvoir tenir ? Dosan, pourquoi était-il dans cet état ? son passé était-il aussi horrible ? Hitoshi était perdu, mais ce qu'il savait, c'était qu'il voulait le garder aupres de lui...
- Je te le promets...murmurra Hitoshi, à l'oreille de Dosan.

Dosan, se releva peu à peu à l'entente de cette phrase qu'il ne pensait pas entendre. Tout était confus en lui, mais lorsqu'il croisa le regard ténébreux du jeune brun, toute la confusion s'envola.  Et si il écoutait son coeur ? Si il oubliait le contrat ? Si il commençait à l'aimer ?
Le visage en larme, Dosan reprit possésion de ces lèvres. Il avait besoin de ce contact. Une porte venait de s'ouvrir en lui, mais pour combien de temps ? Il ne voulait pas y penser, il allait se laisser aller, et quand tout basculerait, il espérait qu'Hitoshi garde sa main dans la sienne...

Dosan se décolla d'Hitoshi et se leva, sous le regard incertain de celui-ci. Comprenant son imcompréhension, il tendit la main, montrant à Hitoshi qu'il devait le suivre. Hitoshi prit la main, et Dosan le conduisit à la chambre. Il s'arreta devant le lit, ordonnant à Hitoshi de ne plus bouger. Le bleu océan vint à la rencontre du noir ténébreux de leurs yeux.
Délicatement, Dosan enleva son tee-shirt, exposant son torse aux yeux désireux d'Hitoshi. Puis il enleva sensuellement son pantalon, déja déboutonné dans le couloir. Il sentit l'exitation palpable d'Hitoshi, et sans plus tarder, il enleva son boxer, s'exposant impudiquement devant Hitoshi.
Hitoshi, dont l'exitaion commençait à lui faire mal, s'avança vers Dosan, mais il fut arreter dans son élan. Dosan, s'avança vers lui, colant son pénis tendu à l'intimité d'Hitoshi. Hitoshi ferma les yeux tellement il aimait cette sensation. Sentant qu'Hitoshi avait mal, il commençat à le deshabiller, doucement, frolant sa peau, provoquant des frissons dans tout le corps d'Hitoshi. Une fois leurs coprs mis à nu, Dosan commença à embrasser Hitoshi d'une façon si tendre, que cela le déboussola. Passant sa langue autour de chaque contours de muscles qu'il trouvait, il arriva bien vite qu bas-ventre d'Hitoshi. Celui-ci fermait les yeux, laissant échaper de légers gémissements, mais ceux ci se transformèrent en une plainte de plaisir, lorsqu'il sentit la langue de son amant lécher avidement son gland transpirant de bien-être. Sans qu'il ne s'y attende, Dosan avala le sexe dréssé d'Hitoshi, commençant des vas et viens si fantastique qu'hitoshi laissa échapper des cris à chaque fois que Dosan accélérait la cadence. Hitoshi était partagé entre l'envi de crier au monde a quel point il se trouvait avec l'amant le plus merveilleux au monde ou l'envi de le prendre sur le champs...N'en pouvant plus de la pression qu'éxerçait Dosan sur son pénis, Hitoshi éjacula dans un cri de plaisir, les yeux clos, savourant le plaisir passé.
Dosan acceuilla la semance avec plaisir, s'en délectant.

Dosan se remis debout, et regarda Hitoshi une nouvelle fois dans les yeux et dans un murmure, il lui dit
- Prends moi, fais moi l'amour...

Le regard de désir qu'avait Hitoshi se transforma en regard surpris. Mais il ne pu cogiter plus lontemps, Dosan emprisona ses lèvres, ravivant la flamme de désirs qui brilait il n'y a pas si longtemps dans ses reins.
Hitoshi allongea Dosan sur le lit bleu, ne lachant pas sa bouche un seul instant. Il Descendit sensuellement ses doigt vers l'entrée du plaisir suprême, et d'un mouvement habile, il pénétra Dosan de deux doigts, n'en pouvant plus d'exitation, mais il arreta directement ses vas et viens, en remarquant le visage crispé par la douleur qu'affichait Dosan. Il comprit aussitot que Dosan ne se laissait pas prendre, et que rares étaient les fois où il s'offrait completement. Enlevant ses doigts, il se releva peu à peu, sous le regard mécontant de Dosan, qui tentait de le ramener vers lui. Mais Hitoshi déterminé, retourna vivement Dosan sur le ventre, et avant que celui-ci ne prenne la parole, il enfonça sa langue dans la cavité offerte, provoquant un cri de surprise chez Dosan. Fier de l'effet produit, Hitoshi enfonça plus profondement sa langue dans l'anus de Dosan, et commença des vas et viens afin d'humidifié l'entrée. Comprenant aux gémissements de Dosan, que celui-ci n'en pouvait plus, il re-rentra deux doigts, cette fois accompagné d'un soupir de plaisir. Il commença la préparation, enlevant ses doigts afin d'entendre les gémissements de protestations de Dosan, puis les rerentra brutalement.

- Hito...J'en peux plus...

A l'entente de son prénom, Hitoshi sentit l'exitation le submerger, et avec rapidité, il le retourna, recroisant les yeux de son amant, dont l'envie et le plaisir y étaient imprégnés.
D'un coup sec, il entra son pénis dans la cavité offerte. Acune douleur ne se fit sentir, amennant peu à peu nos deux hommes vers un endroit qu'on appelle le 7eme ciel. Hitoshi donnait des coups de reins brusques, provoquant des cris de plaisir de la part de Dosan. La tension sexuel était à son comble, si bien que Dosan ne pu se retenir plus longtemps, suivis par Hitoshi, qui ne résista pas en voyant Dosan évacuer son plaisir. 

La fatigue se lisait sur leurs traits, et lorsqu'Hitoshi s'allongea aux côtés de Dosan, celui-ci vint se lover dans les bras de son amant et s'endormis, suivi par Hitoshi.

°0° OUlalalalalala  alors lecteurs chéris ! je suis sur qu'il ya des gens qui sont revenus dans le clans
 Dosan !! extra lemon pour me fair pardonner de la suite que j'avais promis hier, dsl mais j'ai été malde d'un coup ! Gros bisous les gens (l) °0°
Par mai-lynn - Publié dans : Mon Jeune Inconnu - Communauté : Les Archanges de Sade
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 17:35
" Je me sentais perdu, pourquoi m'as tu laissé partir ? Je te dérangeais à ce point ? Même si je m'en veut de se qui s'est passé par la suite, je pense que c'est de te faute si j'ai été si chamboullé apres ce qu'il m'a fait. Je ne pouvais choisir entre vous deux, lui avait pris mes lèvres et me transmettait sa joie, toi tu avais pris mon coeur, me rendant encore plus triste..."

Kilian repartit les larmes aux yeux...Pourquoi avait-il si mal ? De rage, il shoota dans le ballon de basket qui roulait entre les serpantins de couleurs rouges et noires. Ce ballon qui lui avait vallu la victoire, victoire qui le rendait heureux, bonheur gâché par cet idiot.

Il sortit du gymnase, l'âme toujours en peine. Marc et Jocia était partis, il devait rentrer pour récupérer Ewen. s'il voulait il pouvait appeler Jocia pour quelle vienne le prendre, mais il voulait marcher, et peut-être frapper dans un mur, la douleur physique est un bon remède au déception. Mais il se rappela du jour où ridley wilson lui avait volé son pull, la mégère avait accusé Kilian de mettre la pagaille dans l'orphelinat, et avait laissé Ridley avec son pull. De rage il avait frappé dans un mur, et c'est comme ça qu'il connu Lydia...

- T'es vraiment pas malin...
- T'es qui toi ? 

Kilian avait tout juste 13 ans, cela faisait un an qu'il était dans cet orphelinat. Il avait les larmes au yeux et sa main lui faisait horriblement mal, du sang coulait des phalanges esquintées. Il regarda celle qui avait osé se moquer de son intelligence. C'était une gamine, elle était rousse et les yeux marrons, mais ce qui le marque le plus était ce regarde si dédaigneux qu'elle lui lançait.

- Pourquoi tu tapes le mur ? demanda-t'elle, le regardant de ses yeux persants
- ça te regardes pas ! lui avait répondu méchament Kilian, avant de se retourner

Mais la voix de la petite fille retentit une nouvelle fois, le faisant se retourner.

- Si tu veux te venger de Ridley, prends sa tête comme punching ball, pas le mur.

Ebahi par l'arrogance de la petite fille, kilian dit :

- Tu sais qui je suis ?
- Non, je m'appelle Lydia, et toi ?demanda-t'elle souriante s'aprochant de lui la main en avant.

Kilian regarda la main puis lydia, puis un sourire mesquin aparru sur son visage.

- Désolé, si tu veux avoir un amoureux, retourne vers l'infirmerie, il y a tout plein de gars qui cherche des nanas souffrantes.

Pensant qu'elle le prendrait mal, il se retourna, mais quand il commença à avancer, il l'entendit exploser de rire. Enervé, il se retourna, et la fusilla du regard.

- T'es exelent, mais je suis pas là pour ça, Ridley ma volé ma montre, et je veux la récupérer, tu m'aides ?

Et voila comment commença leur amitié, s'entraidant quand ils n'étaient pas au meilleur de leur forme, passant tout leur temps ensemble, jusqu'à ce que Kilian parte...

Pourquoi n'y avait-il pas pensé, s'il y a bien quelqu'un qui peut lui remonter le moral en l'évitant de taper dans un mur, c'est bien elle !
Composant fébrilement le numéro de l'orphelinat, il tomba sur une vielle dame, à la voix essouflé.

- Orphelinat sainte thérese bonsoir ! dit-elle maussadement
- Euh oui bonsoir, j'aimerais parler à Lydia Gromigh s'il vous plait. dit Kilian, s'impatientant de secondes en secondes.
- Monsieur, avez-vous une idée de l'heure qu'il est ? dit la vielle dame, commençant à s'énerver.
- Euh non...Pas vraiment...répondit Kilian soudain très embété.
- IL est minuit et quart ! les jeunes dorment à cette heure là ! rappelé demain à une heure convenable ! répliqua sechement la vielle dame, raccrochant, ne laissant pas à Kilian le loisir de répondre.

Dépité, il reprit sa marche vers la maison des Deuchet. Pourquoi le sort s'acharnait-il sur lui ? ne pouvait-on pas le laisser tranquille et faire ce que lui espérait pour une fois ? Pris dans ses pensés, il n'entendit pas la voiture qui freinait, roulant au même rytme que lui marchait.

- Kilian ?

Surpris, il se retourna vers la provenance du son. Il sourit en voyant Joey au volant, son énorme sourire habituel au visage. La soirée allait peut-être bien se terminer...

- Tu veux que je te ramènes ? demanda Joey, ouvrant la portière, ne lui laissant pas vraiment le choix.

Kilian monta dans la voiture. Elle était très spacieuse. De la musique résonait tout bas, Kilian se concentra pour l'écouter et équarquilla les yeux lorsqu'il la reconnu.

- A Bieutiful Lie.... Tu écoutes 30 seconds To Mars ? j'adore ce groupe !!!!! s'écria t-il souriant. ( clin d'oeuil à May et yue !)

Joey le regarda, lui rendant son sourire.

- J'te le graverais si tu veux...
- C'est vrai ? oh c'est trop bien !!

Joey éclata de rire, Kilian avait prit la voix d'une fan hystérique, faisant des yeux implorants !

Comme il l'avait prévu, Kilian en oublia Matthiew. La compagnie de Joey le rendait joyeux, mais comme il le disait avant, le destin (ou l'auteur^^) s'acharne sur lui...

- Voila, t'es devant chez toi ! lui dit Joey
- Ok, merci à lundi ! dis Kilian, prenant son sac.
- Attends, euh...je voulais te parler...dis Joey, évitant son regard
- Bah vas-y dis moi, lui répondit Kilian surpris
- Je...Kilian...Tu es homosexuel ?
- Euh, oui, je ne vais pas te le cacher...Je...Désolé si ça te déranges...Mais...

Mais il ne put finir sa phrase, Joey avait emprisonné ses lèvres d'un baiser qu'il voulait rendre irrésistible. Kilian gardait les yeux ouverts, n'étant plus maître de son corps. Les bras ballants, il laissa Joey essayer d'introduire sa langue dans la bouche de Kilian. Mais voyant qu'elle restait ouverte, il se sépara de ces lèvres obsessionnelles. Il regarda Kilian dans les yeux, mais le désir qui se reflétait dans les yeux de Joey ne se lisait pas dans ceux de Kilian. Non, il avait les yeux grands ouverts, lançant appercevoir son état de surprise.

- Kilian...Je...

Lui non plus n'eut pas le temps le temps de teminer sa phrase, Kilian s'étant enfui, courant jusqu'à sa maison, laissant son sac dans la voiture de Joey.

- Suis désolé...

°0° Mouhahahaha il veut se faire Kyky il veut se faire Kyky !!!! petite suite voulait pas faire plus sachant que le prochain chapitre vous feras hurler...mais de quoi ? indignation ou bonheur ?!?loool ce soir une MAJ de MJI, j'espère que cette suite vous a plu ! Gros bisous !!! °0°

Par mai-lynn - Publié dans : Pourquoi c'est si dur ? - Communauté : Les Romances Explosives
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 13:48
" Je me souviens de la période avant notre rencontre. Je n'étais qu'un jeune abrutis, avide de sexe, de drogue et de soirées déjantés. Mais qui ne l'est pas au moins une fois à ses 19 ans ? Je ne travaillais pas, à quoi bon ? mon père devait être l'homme le plus riche de cette bonne vieille france, m'offrant tous ceux dont j'avais besoin. Mon appartement venait de lui, ma voiture venait de lui, mes fringues venaient de lui...Le jour de mes 19 ans, Henri, mon meilleur ami, m'avait concocté la plus merveilleuse des soirées. Lui aussi était le fils d'un homme riche, son père croullant sous les pétro-dollars. Henri n'avait jamais critiqué mon désir des hommes, désir qui s'était vite transformés en obsession, me lassant de tous mes partenaires sexuels au bout d'une soirée. Je le connaissait depuis l'école primaire, on avait fait toutes ces hypocrites classes de riches. Ce 25 septembre, jour de mes 19 ans, je me levais avec déja en tête la soirée de ce soir, et les parties de jambes en l'air qui la suiverait. Henri voulait à tout prix que ce soit une surprise, mais j'avais tellement cuisiner Sarah, sa petite amie, que je savais tout de cette "surprise party". La journée passa agréablement vite, et je me surpris même à être en retard dans ma préparation. Une fois ma douche prise, je me plaça devant le miroir, la serviette de bain autour de ma taille. Et comme à chaque fois que je me trouvais devant ce miroir, je ne pouvais m'empécher de m'admirer. Il faut dire que mes parents avaient bien bossés, j'étais blond comme ma mère, et j'avais les yeux verts comme mon père. De ce côté là je ne pouvais les renier. Ma peau était pâle, et mon corps finement musclés, laissant apparaitre les contours de quelque muscles. Je ne faisait pas de sport, j'avais horreur de ça, mais pourtant j'arrivais à garder ce corps si tentateur. J'étais tellement vaniteux que je remarques à quel point tu m'as fait changer...Pour cette soirée, je voulais les vetements qui me rendraient plus beau que je ne l'étais, et c'est avec un large sourire apréciateur que j'enfilla mon jean bleu délavé et mon tee-shirt vert uni, qui se marriait parfaitement avec la couleur de mes yeux. Il était 20h15 lorsque je sortis de chez moi, il me fallait 30 minutes en voiture pour me rendre au Cab', l'endroit qu'Henri avait loué pour mon anniversaire "surprise". Henri m'avait apellé en début d'après midi, me disant qu'il venait de s'engeuler avec Sarah et que ce soir il voulait faire la fête. J'étais amusé de la situation, surtout que jamais je n'avait vu un couple si parfait que le leur. Feignant d'être véxé parce qu'il ne me souhaita pas mon anniversaire, je lui dis que j'etais d'accord pour le rejoindre dans cette boite.

Trente minutes plus tard je me retrouvais devant ce lieu que j'avais tellement vus. Le Cab' avec son design mis-vaisseau spacial, mis-soucoupe volante, son aspect futuriste, ses néons lumineux mauves et ses DJ si tentateurs...Quel endroit merveilleux....

Je poussa la porte insonorisée de l'entrée, et je ne fus pas surpris de voir tout éteint. Faisant celui qui ne comprenait pas, je demanda tout haut au videur :
- Dis Paul ! y'a un problème avec la lumière ?
Paul me regarda avec un sourire amusé, et sans que je ne m'y attende, les néons s'allumèrent, entrainant le chant de personnes que je disait être mes amis mais que pour la plupart je ne connaissait pas le nom. Leurs visages enjoués, chantant à tue-tête la célèbre chanson "joyeux anniversaire" me fis rire d'émerveillement. L'endroit avait été décoré pour l'occasion, mais n'en perdait pas moins son charme. Une grande banderole ornait le plafond dans toute sa surface, avec dessus écrit en lettre d'or "Bon anniversaire Owen" et tout autour les signature et petits mots de toutes les personnes présentes. Un buffet avait été installé où de grands plats froids y séjournaient, mais pas pour longtemps....

Henri vient vers moi, un air fier affichait son visage.
- Tu t'en doutais pas hein ?!?
- Ah non, pas du tout ! Sur ce coup, tu m'as vraiment eu ! dis-je en me grattant la tête, l'air étonné, sous le regard insistant de Sarah, qui me fusillait du regard pour ne pas lui dévoiler la vérité.
- Hey Hey, je suis trop fort ! toi qui pensait que je m'ettais vraiment engeulé avec Sarah ! Bon anniversaire l'Ami ! dit-il en me prennant dans ses bras.

L'ami, ce surnom, qui n'en était même pas un. Je ne me rappelle même plus comment ça a commencé, mais des qu'on se retrouvent tous les deux, l'ami est présent.

Les gens viennent de toute part, venant me souhaiter un bon anniversaire, et ce n'est que Une heure plus tard que je retrouve Henri, avec son air perdu.
- Qu'est-ce qui t'arrive ami ? demadais-je, m'avançant vers lui
- Rien Sarah m'a planté pour voir son amie...dit-il, l'air penaud
J'explose de rire, décidement, il ne pouvait pas se séparer d'elle.
Nous nous sommes mis à discuter sur le temps qu'il avait mis à préparer cette énorme fête, le nombre de coups de fils qu'il avait passé et enfin il me posa la question qu'il me posait toujours en début de soirée :
- T'as trouvé quelqu'un à te mettre sous la dent ?
- Bah étant donné que ça ne fait que une heure que je suis là, non, pas encore, mais ça ne serait tarder, lui répondis-je un sourire amusé au coin du visage.
Ce fut au tour d'Henri d'exploser de rire, me disant que je ne changerais jamais. Mais à quoi bon changer, je m'aimais comme j'étais...Enfin, c'est ce que je pensait...

Une heure plus tard, j'étais toujours avec Henri, on regardait les gens qu'on ne connaissait même pas se mettre à danser d'une certaine façon, qui provoquèrent immédiattement notre hillaritée. Mais je retrouva rapidement la petite amie perdu. Donant un coup de coude à Henri, je lui fis signe vers Sarah. Regardant une dexième fois vers l'endroit que j'indiquais, c'est là que je le vis. Je le trouvais très beau, il était chatain, et avait les yeux noisettes. Sa peau était bronzé. Ses cheveux étaient mis long, mais il les avait ramassés en queue de cheval, ce qui rendait son apparance vraiment attirante. Il portait une chemise déboutoné en haut, laissant entrapperçevoir son torse hallé. Mon regard tourné vers lui, j'étais comme en transe, épiant ses moindres faits et gestes. Je vis passer Henri devant moi, voulant rejoindre Sarah, mais je l'arreta dans sa démarche. Surpris, il se retourna et m'observa, tournant son visage dans la même direction que moi, il comprit vite le pourquoi de cet arret. Dans un sourire, il me lança, le regard explicite :
- C'est le cousin de Sarah, il s'appelle Mathis..."

°0° Alors Alors Alors ?!? j'ai réussit à vous interéssé à ce chapitre ? j'avoue que je suis assez contente du résultat ^^ maintenant, j'accepte toutes les critiques, sauf les trop méchantes !! Gros bisous mes gens adorés ! °0°

Par mai-lynn - Publié dans : Beauté Inaccessible - Communauté : Les Archanges de Sade
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Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 22:29

 

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Nous sommes à paris, pendant le mois de décembre, les décorations illuminent les arbres qui ont perdus leurs couvertures. ça fait deux jours qu'il pleut abondement, et on dit souvent que la pluie est annonciatrice de mauvaises nouvelles...Les rues sont bondés de gens en parapluies, se protegant comme ils peuvent du torrent qui s'abbat sur eux. 

Mais un intrus vint se glisser dans ce paysage. Il cours, percutant les passants. Les larmes coulent sur ses joues abondement. Il est grand et blond, il a les yeux verts. Il est très beau, mais son visage est à présent transformé par la douleur, la tristesse et la colère...

Il cours sans jamais se retourner, manquant de se faire percuter par des dizaines de voitures. Il n'entends pas les appels de son ami, qui cours à sa suite. Lui a les cheveux chatains et les yeux marrons, il porte une blouse blanche...Peut-être est-il medecin.

Leur course effrainé se poursuit, l'un voulant échapper à l'autre, l'autre voulant le ratrapper. Mais soudain le jeune homme blond s'arrête davant une petite maison. Les marches du perron laissent ruisselés l'eau, les rendant glissantes. Le jeune homme la regarde avec une infime tristesse, il s'apprete à y monter, mais il est retenu par le jeune homme chatain, qui le tient fermement par le bras.

- Owen, arrêtes, tu te fais du mal !

La haine dévaste ses beaux yeux verts, d'un mouvement brusque, il se dégage de la prise de l'autre homme, qui surpris tombe par terre.

- Ne me touches pas ! ne pose plus jamais tes mains sur moi ! réplique le dénomé Owen, le regard asassin.

D'un pas rapide, il monte quatre à quatre les marches du perron et entre dans cette maison qu'il n'aura peut-être plus jamais l'occasion de voir. Il longe le hall, se rapellant de chaque discussions, et arrive dans le salon. Ce salon qu'il aime tant, si calme et serain. Ce canapé blanc où il s'est si souvent assis, pour regarder la télé ou lire un livre de sa bibliothèque...

La rage, ce sentiment nait en lui, et lui prend avidement les tripes. La colère monte de plus en plus, si bien qu'il arrive devant cette bibliothèque, devant sa bibliothèque. Il prend un livre et caresse la couverture. Ses larmes coulent...Pourquoi ? De rage il jette ce bouquin à l'autre bout de la pièce, puis recommence ce même geste encore et encore. Il veut évacuer cette tristesse, cette colère.  Sa fureur est telle qu'il détruit peu à peu le salon, sous le regard triste du jeune homme chatain, qui est lui aussi entré. Il déchire les coussins, fait tombé la vielle horloge, casse la stéreo, tout est bon pour essayer de calmer sa douleur. il commence à jetter les cadres qui se trouvaient sur la cheminée, mais s'arrête en plein élan. D'un geste fébrile, il attrape un cadre où une photo y est encadré. Ce jeune homme blond pose sur la photo en compagnie d'un homme brun, les cheveux mis-courts, aux yeux bleus gris. Tenant ce cadre contre son coeur, il s'appuie contre le mur, se laissant glisser au sol, le regard vide, mes les larmes coulent encore et encore.

Le jeune homme brun en profite pour l'approcher, et le regarde. Lui aussi pleure. D'une voix pleine de tristesse, il lui dit :
- Owen...
- Pourquoi Mathis ? Pourquoi il a fallu qu'il s'en aille ? demanda le jeune Owen, sans regarder le dénomé Mathis
- Il t'avais prévenu...
- Il n'avait pas le droit ! de rage, il balança le cadre a fond de la pièce, et pris sa tête entre ses mains.
- Comment je vais faire sans lui ? demanda-t'il cachant son visage

- Comment je peux vivre sans lui ? comment je peux l'oublier ? aide moi Mathis ? implora le jeune Owen
- Tu ne pourras jamais l'oublier, tu peux juste commencer à te séparer de lui, de ce manque qu'il te procure...lui répondit Mathis, le prenant dans ses bras.
- Comment...Murmura Owen plus désemparé que jamais
- ...écris...écris ton histoire, votre histoire, et quand tu te sentiras capable de faire le deuil de cette relation...Brûle ces pages Owen

Les heures défilent devant se yeux sans vraiment qu'il ne s'en rendent compte. Il déteste cet homme qui l'a quitté. Ses mains tremble, sa peine est immense. D'un geste fébrile il attrappe son bloc note et son crayon, et commence à écrire :

" Je n'étais rien, tu étais tout. Tu ne voulais pas m'aimer, pour ne pas souffrir lorsque tu partirais. Tu n'étais qu'un égoïste, une personne froide, une beauté innaccessible. Pourtant je t'ais obligé à changer...Peut-être n'aurais-je pas du...Peut-être avait tu raison...Et si Mathis à raison, en écrivant notre histoire, je t'oublierais peut-être définitivement..."

°0° Alors cette prologue ? ça vous dit de lire cette fic ? j'attends vos impressions !!! °0°

Par mai-lynn - Publié dans : Beauté Inaccessible - Communauté : Les Archanges de Sade
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Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 20:21

Akeno referma la porte, le coeur en miettes, il n'en croyait pas ses yeux, pourquoi ? Pourquoi il ne le choisissait pas lui ?

- Je ne suis qu'un idiot. souffla-t'il

Akeno n'avait jamais haï Hitoshi car celui-ci ne l'avait jamais déçu, au contraire, il l'aimait et l'admirait en secret...Mais peut-on toujours admirer quelqu'un qui ne tient pas ses promesses ? Dosan l'a fait souffrir, alors pourquoi il ne peut pas lui résister ?

Le coeur saignant et les questions se bousculant dans sa tête, Akeno commence à ranger le restaurant, en l'attente des clients matinaux.

Ce n'est que vers dix heures qu'Hitoshi se réveille, à l'aide des petits baisers que dépose Dosan dans son cou et sur son épaule. Quant il vit Hitoshi réveillé, il lui sourit tendrement, l'embrassa d'un doux baiser.

- Salut toi ! lui dit Dosan
- Salut...lui répondit Hitoshi.

Hitoshi força Dosan a poser sa tête sur son torse, puis de sa main gauche, il laissa glisser ses doigts sur cette peu si douce, dont il avait parcourru chaques milimètres durant la nuit dernière.

- Quelle heure est-il ? demanda-t'il les yeux fermés, vraiment bien installé.
- Euh, il doit être pas loin de dix heures je crois...répondit Dosan, commençant peu à peu à se rendormir.

Mais il n'eut pas le temps, Hitoshi se releva brusquement, marmonant un "merde, j'ai oublié le réveil" et se dirigea vers la porte. 

- Hito ?
- Quoi ?
- C'est pas que ça me dérange, mais tu devrais mettre un pantalon, juste pour les clients.

Hitoshi ne s'était pas rendu compte qu'il ne portait rient sur lui. Esquissant un sourire, il chercha ses vetements éparpillés sur le sol, puis embrassa Dosan avant de disparaitre de la chambre.
Le sourire aux lèvres, Dosan se rallongea, posant sa tête sur l'oreiller d'Hitoshi, humectant son odeur.

Hitoshi descendit à toute vitesse dans le restaurant. Il vit Chika servir les clients et se dirrigat vers la cuisine, ou il trouva Akeno aux fourneaux.
Il s'approcha de lui, la mine désolé.

- Escuse moi, j'ai pas entendu le réveil....dit-il, l'air penaud
- Je m'en doute...répondit froidement Akeno
- Euh...Tu as un problème ?
- non.
- OK, comme tu veux...je suis dans mon bureau si tu as besoin de quelque chose...

Hitoshi, surpris par le ton qu'employait Akeno, se retourna pour aller dans son bureau, et quitter cette atmoshère pesante.

- Pourquoi tu n'insistes pas ? demanda Akeno, les poings fermés posés sur la table

Hitoshi se retourna vers lui, de plus en plus surpris.

- Tu te fous de ce que je ressens pas vrai ? redemanda-t'il cette fois en se retournant, la colère faisant briller ses yeux.
- Mais de quoi tu parles ? demanda Hitoshi, ne comprenant pas.
- Pourquoi t'as recouché avec lui ! je croyais qu'il devait partir ! hurla Akeno.
- Hey Akeno, qu'est-ce qui t'arrives ? tu ne deviens pas jaloux quand même ?
- Ce qui m'arrive ?!? j'ai toujours été là pour toi ! et toi en retour tu fait quoi ? tu me mens !
- Je ne t'es jamais dit que je voulais qu'il parte. dit Hitoshi, en haussant la voix
- Très bien ! fais toi baisé autant de fois que tu veux, mais ne viens pas me voir lorsque t'apprendra qu'il se sert de toi juste pour avoir un toit !

En disant cette dernière phrase, Akeno avait enlevé son tablier et était partit en claquant la porte de la cuisine, sous le regard bléssé d'Hitoshi.

- Et merde...

Quelques minutes apres, Chika débarqua dans la cuisine.

- Hito...J'ai trois commandes...

Hitoshi souffla, et s'empara du tablier.

- Je vais les faire...

Toute la journée, Hitoshi travailla dans la cuisine, remplaçant Akeno. Dosan essayait de savoir pourquoi il était arrivé à travailler dans la cuisine, mais à chaque fois, Hitoshi lui répondait qu'Akeno ne se sentait pas bien. En véritée, Hitoshi ne voulais pas lui faire part de la dernière phrase d'Akeno, car même un silence de la part de Dosan, et se serait sa réaction la plus probable, lui prouverait qu'Akeno avait raison, et il ne voulait pas se l'avouer.

La journée se poursuivit ainsi, jusqu'à ce que les derniers clients partent, laisant Dosan et Hitoshi seul. Hitoshi s'occupait de la plonge. Il était exténué. Dosan, quand à lui essayait quelques notes sur le piano. Il avait enfin retrouvé le goût, heureux, il appela Hitoshi.

- Hito ! Viens voir ! cria t-il pour que l'interesser l'entende.

Hitoshi arriva quelques minutes plus tard, s'essuyant ses mains dans son torchon.

- Qu'est-ce qu'il ya ? demanda-t'il
- Viens assieds toi a côté de moi et écoutes...lui répondit-il dans un sourire.

Hitoshi s'éxécuta, et Dosan commença à jouer. [ cliquez sur From the inside]

Dosan passait ses doigt sur les touches avec une facilité déconcertante, comme s'il jouait depuis lontemps. Hitoshi se mit à l'admirer, il avait les yeux plissés, montrant a quel point il était concentré. Mais même en regardant Dosan, Hitoshi ne pouvait s'empécher de penser à ce que lui avait dit Akeno.

" ne viens pas me voir lorsque t'apprendra qu'il se sert de toi juste pour avoir un toit ! "

- Hito ? demanda Dosan, les sourcils fronssé.
- C'était superbe...répondit Hitoshi, le regardant avec un sourire.
- Il y a quelque chose qui te tracasses ?

Hitoshi regarda un instant dans le vide, Et prit une grande inspiration.

- Avec Akeno, on s'est disputés...il pense que tu te serts de moi. Dit Hitoshi, évitant son regard.
- Et toi tu en penses quoi ? demanda-t'il froid
- Rien, je ne suis pas d'accord avec lui... répondit-il relevant la tête.

Dosan se le va, et lui fit fasse.

- Moi, j'en ai rien à faire d'Akeno, du moment qu'il ne change pas la façon dont tu me regardes...

Puis passant, du coq à l'âne, il rajouta.

- J'ai envi d'une douche !

Hitoshi surpris par ce changement de sujet dit :

- Ok à tout à l'heure...

Dosan le regarda un instant, son fidèle sourire pervers dans le coin des lèvres. Puis il se raprocha à quelques centimètres de la bouche d'Hitoshi, et se mit à carresser son entre-jambe.

- Je crois que tu a pas très bien compris...J'en envie d'une douche...[ Puis lui refaisant face et lui tendant la main] Tu viens avec moi ?


°0° Je continue de faire ma méchante, je coupe en plein début de leemon ^^. Gros Groos bisous !! °0° 
Par mai-lynn - Publié dans : Mon Jeune Inconnu - Communauté : Les Archanges de Sade
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